mardi 31 mars 2015

Télé TIC : Journal de 18:30h.


Existe-t-il un apartheid territorial, social et ethnique en France ?

Selon le premier ministre français Manuel Valls, en France il existe un apartheid territorial, social et ethnique, dans un débat sur le modèle d´intégration à la française, et en particulier sur les jugements de l’ècole laïque et républicaine.

Conformément à son propre discours, il a réitéré son diagnostique, après les émeutes de 2005, oú on a brûlé la banlieue de Paris et d'autres grandes villes. Le Premier ministre détaillera demain, mercredi le nouvel anti-terrorisme de son gouvernement.

Valls veut lutter contre ces inégalités, en optant pour la citoyenneté et l'intégration à terme, qui est considérée comme obsolète, puisque nous n’intégrons pas n’importe qui dans cette société, oú tout le monde est parti. Un des arguments utilisés pour défendre son anti-racisme (qu'aujourd'hui nous devrions pratiquer plus que jamais) est le fait que les terroristes, qui ont récemment conduit les attentats à Paris, et bien que d’origines Nord-Africains, c’étaient des citoyens français.

Il a souligné dans son discours la nécessité de chercher des réponses démocratiques au fascisme montant, lié en France avec le Front national, le parti politique dirigé par Marine Le Pen. Dans ces soi-disant zones urbaines sensibles (ZUS), qui constituent le gros des quartiers les plus durs, y vivent 4,7 millions de personnes, 7% de la population, selon les chiffres de 2006. Si bien Valls est compatible avec sa propre ligne, son discours, qui n'a pas toujours été le bienvenu dans son propre parti, trouve une résonance à cette époque. Après le traumatisme des attentats, les citoyens français se demandent ce qui a échoué dans leur modèle d'intégration. Une grande attention a été concentrée sur l'école, symbole et fierté républicaine en France, où il a toujours respecté la minute de silence décrétée au lendemain de l'attaque à Charlie Hebdo. De nombreux observateurs ont également souligné la présence limitée de la jeunesse dans la banlieue de la grande manifestation de rejet à la suite des attentats dimanche.
 

Combien souffre la culture, quand l'autorité se confonds avec autoritarisme !

Dans l’actualité, malheureusement, la culture est encore melangée avec la politique. Losqu’ un pays ou un térritoire souffre des problèmes économiques ou entre dans une crise, les politiciens se permettent le luxe de réduire les dépenses dediées à la culture. Ils pensent, reposés dans leur grand bureau et leur cher fauteuil, que la culture n’est pas importante ou qu’ils préferent dépenser l’argent dans d’autres fins “plus utiles”. Situés en haut de leurs bâtiments, ils croyent que leur supériorité est réelle, qu’ils ont le pouvoir de décider s’ils coupent la culture d’une communauté ou de tout un pays…

La culture est une représentation d’un groupe de personnes ou d’un peuple et selon moi, ça ne peut être coupé. En plus, aujourd’hui, il y a des opinions très variées, mais toutes liées avec le monde de la musique, une des représentations les plus précieuses de la culture d’un territoire. Ça veut dire que de la même manière, des partits politiques défendent des groupes ou des styles musicaux et attaquent des autres qui, à son avis, ne sont pas “adéquats”.
 
C’est le cas du groupe “Soziedad Alkohólica”, dont les concerts ont été plusieurs fois annulés. Sans aucun motif logique, ils n’ont pu jouer leur musique uniquement parce qu’elle contient des mots ou des expressions qui peuvent déranger des personnes qui ont un point de vue différent. J’ai lu une phrase de Gerorge Orwell à laquelle je veut faire réference : “La liberté d’éxpression c’est dire ce que les autres ne veulent pas dire”. Je ne pense pas que la liberté doive être utilisée pour gêner quelqu’un, mais c’est vrai que quelque fois ça serait bien que des personnes écoutent aussi des choses qu’ils n’écoutent jamais, pour le simple motif qu’ils n’aiment pas les écouter. La liberté d’éxpression implique aussi la liberté d’écouter les autres.


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Mais, malheureusement, ce n’est pas que le cas de “Sociedad Alkohólica”. Pendant toute l’histoire, des groupes musicaux et aussi des artistes ont été attaqués pour avoir montré une réalité moins rose que celle que ceux qui se trouvent en haut veulent nous faire voir. Je me refère au chanteur Ovidi Montllor ou au poète Vicent Andrés Estellés, par example. Dans ce cas, ils sont deux grands artistes qui défendent la culture valencienne et qui ont toujours été méprisés par les personnes qui croyaient qu’ils étaient des révolutionnaires, simplement pour avoir conter leur propre vision de la vie d’une manière très claire et naturelle.
 
Ovidi Montllor, “M’aclame a tu”:

 
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Par contre, il y a des groupes qui respectent et appuyent cette culture et rendent des hommages à ces artistes, comme “Obrint Pas”. Ils ont adapté un des poèmes de Vicent Andrés Estellés afin de creer une chanson.




En France, il existe aussi la censure au champ artistique musical. Jaques Brel, Georges Brassens et Leó Ferré étaient censurés. Aussi que Stanley Kubrick, Jean-Luc Godard et Jean Vigo, dont ses filmes ont été annulés.
 
Par ailleurs, le rappeur Ministere Amer était forcé en 1995 à payer 250.000 francs, à cause de sa chanson “A sacrifice du poulet”. Un autre example est la procédure judicial que Sarkozy commençait contre le group “La Rumeur”, en 2002. Finalement, à cette occasion, la justice donnait la raison au group.


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En conclusion, touts ces problèmes et enfrentements montrent l’idée que la chanson et la musique ont un grand pouvoir. Au même temps, nous fait penser que ce pouvoir peut être utilisé des manières très diverses et comme ça, les conséquences seront aussi différentes. La musique et l’art en géneral, partagent une étroite rélation avec la liberté d’éxpression et ça veut dire qu’elle doit être respecté par tous. Nous devons comprendre que censurer la musique est violer la liberté d’éxpression, et consequemment, les droits des personnes à s’éxprimer d’une manière libre. VIVE LA MUSIQUE ET LA LIBERTÉ !

Bon courage, la France !

Lors de ses vœux à la presse, en début janvier 2015, le premier ministre M. Valls a insisté sur les "fractures" qui couvent en France : je pense que Manuel Valls a été très courageux en dénonçant avec « ces mots », même s’ils sont durs et ne correspondent pas exactement à ce qu’il se passe en France ; une situation précaire et une injustice sociale.

Je crois qu’il a voulu faire une déclaration publique des problèmes qu’ils détectent, (sous le prisme socialiste), et qu’ils ne savent pas bien comment résoudre. C’est pourquoi, honnêtement, je dois reconnaître qu’ils sont beaucoup plus avancés, clairs et sincères, que nous ne le sommes en Espagne.

Je pense qu’il s’agit d’un très gros problème, qui existe surtout dans certains quartiers de Paris, et surtout en périphérie, dans la banlieue Parisienne, ou habitent de nombreux immigrants, qui ont dénoncé leur mauvaise situation économique lors des soulèvements et des émeutes, en 2005.

"La relégation péri-urbaine, les ghettos (...), un apartheid territorial, social, ethnique, qui s'est imposé à notre pays" : Voici, selon Manuel Valls, quelques-uns des nombreux "maux qui rongent notre pays ou des défis que nous avons à relever", et que "ces derniers jours ont soulignés".
 

Au-delà des dangers immédiats de l'islamisme radical, le Premier ministre s'est appliqué à dénoncer les racines profondes du mal.


Misère sociale et discriminations
Le Premier ministre a notamment insisté sur "la misère sociale" à laquelle "s'additionnent les discriminations quotidiennes parce que l'on n'a pas le bon nom de famille, la bonne couleur de peau, ou bien parce que l'on est une femme". Il a regretté "cette peur collective face au chômage de masse, au chômage de longue durée, au chômage des jeunes, face à la vie trop chère, au risque de déclin, à l'angoisse du déclassement individuel qui pousse au repli sur soi, à l'angoisse des parents pour l'avenir de leurs enfants".

L’explication du premier ministre est très cohérente et courageuse (nous sommes loin de voir ou d’écouter de telles choses en Espagne !!) mais il faut également être conséquent avec ce courage et ces aveux, et arriver à bout des entreprises conçues, au sein du groupe politique.


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lundi 30 mars 2015

Élections- départamentales- en France


Source : ministère de l'Intérieur AFP

 
Après un 1er. Tour…

A l'issue du premier tour des élections départementales (anciennement cantonales), 1905 cantons, sur 2054, sont à pourvoir pour désigner les conseillers départementaux. La gauche parviendra-t-elle à limiter les dégâts ? La droite réussira-t-elle à amplifier ses bons résultats du premier tour et reprendre à la gauche plusieurs dizaines de conseils généraux ? Le Front national obtiendra-t-il un nombre significatif de conseillers départementaux après avoir obtenu des résultats historiques en parvenant à se qualifier au second tour dans plus de 1100 cantons ? Et parviendra-t-il, pour la première fois, à obtenir la présidence d'un conseil général ?

Dans quasiment 80 % des cantons, le scrutin sera constitué d'un duel entre deux binômes. La majorité de ces duels opposera un binôme de candidats de gauche à un binôme de droite (682), ou un binôme de droite à un binôme d'extrême droite (538). On compte néanmoins 294 duels entre binômes de gauche et d'extrême gauche.

Dans 278 cantons, les électeurs seront confrontés à des triangulaires, opposant gauche, droite et extrême droite. Comment les électeurs de droite et de gauche voteront face au risque de l'élection de conseillers départementaux FN ? Quel report des voix dans les cantons où le FN est arrivé en tête ? Des questions que les électeurs n'auront pas à résoudre dans les 13 cantons où... il n'y a plus qu'un seul candidat au second tour.

Paris n’est pas concernée par les élections départementales car c’est à la fois une commune et un département ; c'est le Conseil de Paris qui fait office de conseil général et de conseil municipal.

La métropole de Lyon (non représentée sur la carte) n'est pas non plus concernée puisqu’elle exerce les compétences départementales depuis le 1er janvier 2015. Le reste du département du Rhône élira quant à lui 23 conseillers départementaux.

 
Après un 2ème. Tour… Dimanche 29 mars

En remportant les deux tiers des départements, la droite a largement remporté son pari face à la majorité, qui prend acte de la défaite. Le FN échoue à remporter un département.

La droite a largement remporté les élections départementales. Elle était à la tête de 40 départements, elle en remporte 66 à l'issue du second tour.

La gauche, qui contrôlait 61 des conseils généraux sortants, n'en a plus que 34. Elle perd notamment la Corrèze, l'Essonne, le Nord, les Côtes-d'Armor et la Drôme, mais remporte aussi la Lozère, jusque là détenue par la droite. C'est le seul département à passer de droite à gauche.

Quant au Front national, il ne dirigera aucun département (l'Aisne et le Vaucluse, qu'il espérait ravir, lui échappent), mais repart avec 62 sièges de conseillers.
 
Le taux d'abstention pour le second tour s'est établi à 50,02%, selon les chiffres définitifs du ministère de l'Intérieur publiés ce lundi.
 
Le Front national rate son second tour!!

Le Front national n’a pas réussi à transformer l’essai du premier tour des élections départementales. Alors que le parti d’extrême droite était arrivé en tête dans 43 départements, dimanche 22 mars, il n’est pas parvenu à en conquérir un seul au soir du second tour, une semaine après. Son seul sortant, Laurent Lopez, est même battu dans son canton de Brignoles (Var). En tout, le FN dispose désormais de 62 conseillers départementaux. Un chiffre inédit, même s’il reste très modeste au regard des 4 000 élus sur tout le territoire. Jamais le FN n’avait eu autant d’élus territoriaux à l’issue d’une élection départementale qui ne lui est, traditionnellement, pas favorable.


http://www.lemonde.fr/elections-departementales-2015/article/2015/03/30/le-front-national-rate-son-second-tour_4605450_4572524.html 
http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/elections-departementales-2015/20150327.OBS5826/elections-departementales-2015-tous-les-resultats-du-second-tour.html?xtor=RSS-24

samedi 21 mars 2015

La musique et la censure

Depuis que l’homme a une conscience d’appartenir à une communauté, il a lutté pour créer une société plus égalitaire et juste. C’est pour cela, qu’il a dénoncé ce qui a considéré grave pour sa stabilité.
Il a utilisé de différents mécanismes pour arriver à faire des revendications et pour arriver aux gens, parmi lesquels nous trouvons des journaux, de la radio ou encore plus, de la musique. Ce dernier mécanisme a été (et il est aujourd’hui) l’une des façons les plus directes de transmettre des idées et d’encourager à se bouger.

En fait, nous pouvons faire attention à un mouvement de musique sociale qui a eu lieu aux terres de València et Catalogne, appelé « la Nova Cançó ». Il s’agit d’une sorte de compositeurs-interprètes des années 60-70 lesquels avaient pour but normaliser la langue catalane, qu’en même temps, elle avait été réprimée pendant la première étape de la dictature franquiste. Comme le fait de chanter en utilisant une langue pas légale faisait référence à un type de transgression, avant de se publier une chanson, elle devait passer par le filtre de la censure, c’est pour cela que les compositeurs ont commencé à utiliser un langage plus métaphorique.

L’un des compositeurs-interprètes qui appartient à « la Nova Cançó » est Ovidi Montllor, concrètement, on célèbre le XXe anniversaire de sa mort, ou comme il préférait, de ses vacances, cette année. Il était Valencien, mais il a dû d’émigrer à Catalogne parce qu’à València, il n’avait aucun type de soutien politique.



Cela d’auparavant fait allusion à une époque plus restrictive, mais aujourd’hui, il paraît que la société n’a pas avancé. Oui, il n’y a pas de dictature en Espagne ; oui, ce sont respectées toutes les langues des autonomies selon la loi ; oui, il est légiféré la liberté d’expression. Mais tout cela, nous devons le mettre sous une cape opaque de doutes. Pour éclaircir ces doutes, nous allons mettre l’exemple de la bande musicale Soziedad Alkoholika qui continue dans le panorama musical actuellement.

Cette bande musicale compte avec des paroles pleines du compromis social et de la dénonce directe, point commun avec Ovidi Montllor et « la Nova Cançó ». Cependant, elle ne peut pas s’exprimer en toute liberté aujourd’hui, au XXIe siècle : pendant ces cinq années dernières, il a été interdit de faire des performances à Madrid, les raisons ? Ses paroles recueillent des opinions avec des excès verbaux, blessants et malheureux. Où est la liberté d’expression ? Ça ne semble pas qu’elle existe. Nous rétrocédons aux anciens temps où la musique devait réussir l’examen de la censure, mais maintenant, c’est un examen invisible, sans des questions et sans des réponses : il s’agit d’une refuse contre la musique qui n’intéresse pas au gouvernement.

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En relation avec ces courants de musique de protestation, nous pénétrons dans le cas de la France. En fait, l’une des influences de « la Nova Cançó » est la chanson française avec des figures comme Georges Brassens ou Jacques Brel.

En France, après la 2e guerre mondiale, il commence à apparaître des compositeurs-interprètes, la plupart d’eux étaient anarchistes, qui prétendaient montrer un point de vue alternatif de mode de vivre et qui incorporent la caractéristique d’interpréter des poèmes d’Apollinaire, Baudelaire ou Rimbaud comme feront après les poètes de « la Nova Cançó ». En ce temps-là, il a été aussi imposée la censure et c’est pour cette raison, qu’il y avait des chansons refusées. Il faut mentionner aussi que, comme en Espagne, on trouve quelque cas de censure aujourd’hui, comme c’est celui de l’année 2007 où trois rappeurs et deux municipaux ont comparu « devant le juge, le 23 avril, pour avoir signé et distribué gratuitement, en 2004, un cédérom jugé « anti-police » à plus de 4 000 collégiens et lycéens » (selon le journal numérique la gazzeta.fr) ; malgré tout le tapage, le procureur a décrété que ces chansons étaient une façon d’exprimer leurs pensées comme il dicte la liberté d’expression.


En définitive, la chanson est une arme très dangereuse pour transmettre des idées, des pensées ; elle est encore plus puissante que les moyens de communication si elle s’emploie pour cette fin, c’est pour cela qu’elle fait l'objet de contrôle direct.

mercredi 11 mars 2015

Société patriarcale et inégalités entre l’homme et la femme

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Toute inégalité a une origine, celle homme-femme existe depuis très longtemps et cela dans quasiment tous les pays du monde et à tous les siècles.
 
Il y a dans l’origine de cette inégalité homme-femme, une base très ancienne : la religion. Que ce soit religion chrétienne, judaïque ou musulmane, il y a une différenciation de l’homme et de la femme avec des droits non égaux.
 
"Toute femme qui prie ou parle sous l'inspiration de Dieu sans voile sur la tête, commet une faute identique, comme si elle avait la tête rasée. Si donc une femme ne porte pas de voile, qu'elle se tonde; ou plutôt, qu'elle mette un voile puisque c'est une faute pour une femme d'avoir les cheveux tondus ou rasés." Et plus loin, en (1 Cor 11, 10) :
 
"C'est pourquoi la femme doit avoir la tête couverte, signe de sa dépendance par respect des messagers de Dieu". C'est donc au nom du respect que les femmes chrétiennes, comme les musulmanes, se voient imposer le port d'un torchon infamant, signe du machisme des hommes.
 
La pudeur vestimentaire ne se limite pas au voile mais est définie en : "Votre parure ne sera pas extérieure: ondulations des cheveux, bijoux d'or, élégance des toilettes; elle sera toute intérieure: une âme douce et paisible en son secret.
 
Voilà des enseignements que nous ne pouvons laisser de côté qu’après de grands changements dans la sociéte, avec une éducation d’égalité entre l’ homme et la femme, une culture nouvelle avec d’autres valeurs.